Fessestivités - Il se fait sodomiser devant sa femme

Il se fait sodomiser devant sa femme

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TSM

il y a 3 ans

Marié à 18 ans pour cause de charançon dans l’armoire, Léa et Paul se sont finalement trouvés malgré le bébé non prévu. Un beau couple disent les parents et leurs amis lorsqu’ils parlent d’eux.

Effectivement, aux yeux de tous, c’est un couple sans histoire mais lorsque la porte de la chambre est fermée et que le petit dort, la fête charnelle est au rendez-vous. Très déluré tous les deux, ils ont exploré le kamasoutra dans on intégralité puis pour varier les plaisirs dévalisé quelques sex-shops puis ABCplaisir.

Dix ans plus tard, ils ont exploré le libertinage. Léa appréciait de jouer le rôle de soumise sexuelle, de laisser son mari l’offrir dans les coins câlins d’un club libertin. Lorsqu’ils rentraient de ces soirées débridées, il lui est arrivé d’avoir des « fuites » sur le siège en tissu de la voiture ce qui les a obligé à acheter des housses. Pour que le lecteur comprenne, il me faut préciser que Léa est aussi une adepte du « no culotte », sentir le vent frais sur son intimité, à peine masquée par une jupe ou une robe, lui donne un sentiment de liberté en plus des agréables sensations.

Un soir, après ses surfs sur Fessestivites, il a décidé d’imposer une couche à Léa histoire de ne plus pourrir les sièges de sa voiture. Un délire de plus qu’ils ont exploré pendant quelques temps en sortant du club libertin. Etant assez porté tous les deux sur l’exhibition, Paul saute Léa sur le siège arrière de son véhicule avant de la langer sous les yeux des voyeurs étonnés. Quitte à avoir une couche, Léa ne s’est pas privée de les utiliser pour soulager sa vessie.

Le côté régression ne les amusant pas, ils en sont restés au côté pratique de la couche. Paul a aussi essayé à la demande de sa femme. En fonction de leurs envies, lorsque le petit qui a maintenant 15 ans dort chez un copain, il leur arrive de dormir en couche pour ne pas avoir à se lever pour aller faire pipi.

Leur sexualité étant très débridée et riche, ils ont commencé à explorer d’autres fétichismes comme la fessée et le BDSM. Paul jouait le rôle du fesseur, Léa celui de la little pas sage. Après les fessées, pour apaiser les fesses et la « consoler », il la sodomise en lui disant que c’est sa façon de prendre la température. Elle adore ça et, parfois se penche en avant dans la cuisine pour dévoiler ses fesses en lui disant « je crois que j’ai de la température ».

Ce couple merveilleux très joueur vogue de la même façon dans les plaisirs obscurs du BDSM. Paul peut faire ce qu’il a envie à sa femme du moment qu’il la fait jouir d’une manière ou d'une autre. Aimant le « no culotte » dans leurs jeux, un samedi Léa a perdu son gros rosebud dans une supermarché au rayon frais. Comme il y avait beaucoup de monde, dont des e n f a n t s. Pour ne pas faire d’exhibition devant eux, elle a fléchi les genoux pour attraper le gruyère dans le bas du rayon. C’est à ce moment là, que le gros rosebud s’est échappé de son logement charnel.

C’est quoi ça maman ? A demandé un gamin en voyant le sextoy sur le carrelage.

Autant dire que Léa n’a pas tardé à ramasser le rosebud et fuir le rayon !

Comme l’idée du rosebud pour faire les courses était une idée de Paul, Léa a eu l’idée de faire de même à son mari. Le soir même, le petit cratère masculin camouflé entre les fesses était à la fête. C’est lors de cette chaude soirée qu’il a découvert que le plaisir anal n’était pas réservé aux femmes. En effet, pour convaincre la rosette plissée de son chéri de se décontracter, elle lui faisait des caresses et des gâteries buccales de vorace. Du petit rosebud ils sont passés au plus gros avant d’en venir au petit gode.

Léa n’a regretté qu’une chose ce soir là : qu’il jouisse trop vite en la prenant avec les fesses comblées. Pour qu’il se fasse pardonner, il a du la fister en lui bouffant le clito dardant comme un téton excité.

Comme Paul ne put dire qu’il n’avait pas aimé qu’elle joue avec ses fesses, l’idée d’acheter un gode ceinture est venue à Léa. La semaine suivante ils l’ont testé de plusieurs façons. Au départ, c’était Paul qui était à quatre pattes sur le lit et Léa qui, après avoir bien préparé la « cible » masculine l’a embrochée. Le plaisir de la possession phallique fut une grande découverte pour Léa. Avec les mains accrochées à la taille de son mari, elle s’émerveillait de voir le phallus s’enfoncer et défoncer le « fion » son mari. Il avait beau dire « doucement » prise par la folie des sens, elle prit grand plaisir à se laisser aller. Paul finit par dire « stop », son petit cul étant démonté et enflammé.

Après avoir retiré le préservatif du sextoy qu’elle déposa sur le sol, elle prit la place de son chéri en disant « à moi maintenant ». Malgré tout perturbé, le zizi de Paul n’affichait pas la grande forme et pour cause, il avait joui du cul. C’est encore Léa qui prit l’initiative. Elle lui mit le gode ceinture à la taille en lui disant : « ce n’est pas grave chéri, on a une dépanneuse ».

Sachant que sa chérie ne le laisserait pas dormir tant qu’elle n’aurait pas eu ce qu’elle voulait, il abdiqua. Et c’est pendant qu’il lui défonçait le chaton détrempé, que le zizi déficient retrouva de sa superbe. Ni une ni deux, il lubrifia le « petit » habitué aux visites, et l’embrocha à son tour avec le sextoy. Il constata qu’il faut d’abord se loger dans le chaton avant de combler le voisin, sans quoi, il ne laisse plus passer les zigounettes. Après avoir replacé les choses dans l’ordre, il put offrir, tout seul comme un grand, une double pénétration à sa femme. Ravie et comblée dans tous les sens du terme, elle s’envola dans les brumes évanescentes des plaisirs charnels.

C’est ce soir là que l’imagination débordante de la coquine gourmande de tous les plaisirs de la vie, s’enflamma grandement. Le déclencheur de ses nouvelles envies lubriques était le sentiment de « dominer », puis de puissance, qu’elle avait éprouvé lorsqu’elle l’avait pris au gode ceinture. L’envie d’inverser les rôles était là.

Le lendemain, elle surfa sur Fessestivites pour prendre des idées et surtout, le mode d’emploi pour devenir « Maîtresse ». Léa tomba sur une vidéo gay et ne put contenir ses petits doigts taquins très coquins.

Cela l’excitait de voir un homme prendre un autre homme.

Ce qu’un homme veut il le peut, une femme c’est pire. (Dale Carnegie)

Le soir même, elle passait à l’attaque en version Maîtresse vicieuses et sensuelle.

Sans aucune inquiétude, Paul se laissa attacher sur le lit, chose facile, les entraves étaient installées en permanence. Léa se fit mante religieuse pour le pousser dans les extrêmes de l’excitation. Dévoré de bisous de partout, contraints de se laisser faire, il savoura les plaisirs de l’abandon. « Obligé » de la faire jouir avec sa langue s’il voulait jouir, il ne râla pas le moins du monde quand elle chevaucha son visage.

Pendant qu’il lapait de bon coeur, elle jouait avec la poupée de chair histoire de motiver la langue. Après avoir joui, elle abandonna son siège humain pour venir s’empaler, de bon coeur, sur la zigounette tendue à en devenir bleue. Après s’être fait « croquer » Paul n’eut pas d’autre choix que de lécher sa pollution puisque Léa avait décidé qu’il ne fallait pas tacher les draps. Il bouda un peu mais finit par céder aux nouvelles lubies de sa femme.

Sans le détacher, elle lui fit un gigantesque câlin d’amour en version, « femme qui achète » ou « manipulatrice » au choix.

Le plaisir qu’il venait d’éprouver de s’abandonner au lit et les câlins sauvages trompèrent l’ennemi. Il accepta sans trop de réserve qu’elle joue à nouveau la dominatrice.